John F. Kennedy, largement connu par ses initiales JFK, est né en 1917, un 29 mai. Et si son mandat à la Maison Blanche a été écourté (3 ans en tout) par les tragiques circonstances de son assassinat en 1963, JFK n’en reste pas moins une figure emblématique et hautement respectée de la vie politique aux Etats-Unis. C’est à l’occasion de son anniversaire que High Times a voulu lui rendre un hommage un peu particulier, en ressortant un entretien réalisé en 1974 avec une personne anonyme qui prétend avoir été le dealer d’herbe de JFK.
Difficile de juger de la crédibilité de cet anonyme, mais High Times dit s’être suffisamment renseigné auprès de diverses sources avant d’accepter un entretien avec cette personne qui s’était présentée proactivement. Voici les grandes lignes qui ressortent de cette entrevue.
La rencontre avec JFK :
Tout d’abord, ce « dealer anonyme » précise qu’il ne faisait pas partie du cercle proche des Kennedy. Il indique cependant qu’il a connu Ted Kennedy – un des frères de JFK – durant ses études. Après son passage par Harvard, il est embauché à La Havane, à Cuba, où il passera deux ans en tant que rédacteur pour un gros magazine. C’est peu après son retour aux Etats-Unis qu’il est contacté par un correspondant de la Maison Blanche, et rencontre le président Kennedy pour lui soumettre un rapport sur ses travaux à Cuba. C’est là que les détails deviennent assez croustillants.
A noter que, non content d’être considéré comme une référence concernant les Caraïbes et Cuba en particulier, il dit aussi avoir de nombreux contacts lui permettant de ne jamais être à court d’herbe de bonne qualité.
Après cette rencontre qui aura lieu sous l’œil de quelques journalistes, le « dealer » est invité par le président à rester fumer un des cigares qu’il a eu la bienveillance d’offrir à JFK. Ce dernier est connu pour énormément souffrir de problèmes de dos. Ce jour-là ne fait pas exception et c’est alors que le sujet du cannabis intervient. Bien que visiblement non-consommateur, JFK montre un réel intérêt pour la plante et ses vertus. Il est très à l’écoute et semble avoir largement le recul nécessaire pour ne pas tomber dans la propagande anti-cannabis qui fait rage à cette époque.
A noter que, non content d’être considéré comme une référence concernant les Caraïbes et Cuba en particulier, il dit aussi avoir de nombreux contacts lui permettant de ne jamais être à court d’herbe de bonne qualité.
Après cette rencontre qui aura lieu sous l’œil de quelques journalistes, le « dealer » est invité par le président à rester fumer un des cigares qu’il a eu la bienveillance d’offrir à JFK. Ce dernier est connu pour énormément souffrir de problèmes de dos. Ce jour-là ne fait pas exception et c’est alors que le sujet du cannabis intervient. Bien que visiblement non-consommateur, JFK montre un réel intérêt pour la plante et ses vertus. Il est très à l’écoute et semble avoir largement le recul nécessaire pour ne pas tomber dans la propagande anti-cannabis qui fait rage à cette époque.
L’interviewé ne tarit d’ailleurs pas d’éloges : « Il est resté si peu longtemps vous savez – mille jours disent-ils – que nombreux sont ceux qui n’ont pu avoir qu’un bref aperçu du vrai John Kennedy… le Kennedy qui était si ouvert à la vie qu’il était prêt à s’ouvrir à un total étranger et à un sujet qui aurait pu horrifier le public. »
Quelques semaines plus tard, il aurait reçu un appel d’un proche de JFK, lui expliquant que le président préparait une petite escapade vacances, et qu’à ce titre, il aurait souhaité recevoir un briefing des notes prises par notre spécialiste de Cuba lors de leur précédente rencontre. Bien entendu, il ne lui a jamais été demandé de prendre de telles notes, et il s’agissait là d’un message « codé » pour demander un petit échantillon d’or vert.
Une limousine – dont le fournisseur affirma que le président se trouvait bien à l’intérieur – se présenta alors au domicile du fournisseur afin de récupérer le dû de JFK. Limousine qui rendra par la suite quelques autres visites au dealer anonyme, sans que celui-ci ne puisse toutefois réitérer ses affirmations au sujet de la présence du président dans le véhicule.
A noter toutefois que suite au décès de JFK et aux différentes analyses entreprises, aucune preuve de sa possible consommation de cannabis n’est ressortie.
Qu’en est-il de Robert Kennedy ?
La deuxième partie de l’entretien est consacrée aux relations du fournisseur avec divers membres de la famille rapprochée de Robert Kennedy, un des frères de JFK. Il décrit plusieurs rencontres avec des proches qui avaient visiblement eu la main un peu lourde sur le pochon de verte, et parlaient ouvertement du fait que Robert devrait travailler à la dépénalisation du cannabis. Le prétendu dealer semble être certain que Robert ne se privait pas de petits plaisirs cannabiques et aurait été un catalyseur pour une évolution des lois relatives au cannabis, s’il avait été président. Il ajoute aussi qu’un deuxième mandat de JFK aurait probablement fait évoluer les choses.
Oui… mais avec des « si »… on coupe des arbres, ou on met Paris en bouteille, et il aura malheureusement fallu attendre bien des années pour finalement voir la moindre évolution.
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